La ministre de l’environnement : « priorité à la dimension environnementale et sociale sur les considérations économiques » La ministre de l’Environnement et du Développement durable, Massouda mint Baham Ould Mohamed Lagdaf, a déclaré samedi que « la dimension environnementale et sociale doit primer sur les considérations économiques ». La ministre s’exprimait lors d’un atelier de sensibilisation sur la gestion des déchets et des produits chimiques utilisés dans l’exploitation minière indigène, dans la moughata de Chami, au nord de la Mauritanie. « Le droit à un environnement sain est garanti par les lois nationales et les conventions internationales », a-t-elle ajouté. La visite de Mme mint Baham à Chami s’inscrit dans le cadre d’une campagne visant à réduire les activités nuisibles à l’environnement. L’atelier, organisé par le département de l’évaluation et du contrôle de l’environnement, vise à sensibiliser sur les risques environnementaux causés par l’utilisation de produits chimiques tels que le mercure et met également en lumière les meilleures pratiques en matière de gestion des déchets générés par les activités minières. La ministre a expliqué que « l’adoption de la technologie de condensation dans l’incinération permet d’obtenir plusieurs résultats tangibles », notamment « le contrôle total des émissions de mercure, qui renforce la sécurité des travailleurs ». « La réduction de la propagation du mercure dans l’environnement, la minimisation de ses effets sur la santé et l’environnement, et la réutilisation du mercure condensé, qui contribuent à réduire les coûts et à renforcer la durabilité dans le secteur. La ministre de l’Environnement et du Développement durable, Massouda mint Baham Ould Mohamed Lagdaf, a déclaré samedi que « la dimension environnementale et sociale doit primer sur les considérations économiques ». La ministre s’exprimait lors d’un atelier de sensibilisation sur la gestion des déchets et des produits chimiques utilisés dans l’exploitation minière indigène, dans la moughata de Chami, au nord de la Mauritanie. « Le droit à un environnement sain est garanti par les lois nationales et les conventions internationales », a-t-elle ajouté. La visite de Mme mint Baham à Chami s’inscrit dans le cadre d’une campagne visant à réduire les activités nuisibles à l’environnement. L’atelier, organisé par le département de l’évaluation et du contrôle de l’environnement, vise à sensibiliser sur les risques environnementaux causés par l’utilisation de produits chimiques tels que le mercure et met également en lumière les meilleures pratiques en matière de gestion des déchets générés par les activités minières. La ministre a expliqué que « l’adoption de la technologie de condensation dans l’incinération permet d’obtenir plusieurs résultats tangibles », notamment « le contrôle total des émissions de mercure, qui renforce la sécurité des travailleurs ». « La réduction de la propagation du mercure dans l’environnement, la minimisation de ses effets sur la santé et l’environnement, et la réutilisation du mercure condensé, qui contribuent à réduire les coûts et à renforcer la durabilité dans le secteur.

La ministre de l’Environnement et du Développement durable, Massouda mint Baham Ould Mohamed Lagdaf, a déclaré samedi que « la dimension environnementale et sociale doit primer sur les considérations économiques ».
La ministre s’exprimait lors d’un atelier de sensibilisation sur la gestion des déchets et des produits chimiques utilisés dans l’exploitation minière indigène, dans la moughata de Chami, au nord de la Mauritanie.
« Le droit à un environnement sain est garanti par les lois nationales et les conventions internationales », a-t-elle ajouté.
La visite de Mme mint Baham à Chami s’inscrit dans le cadre d’une campagne visant à réduire les activités nuisibles à l’environnement.
L’atelier, organisé par le département de l’évaluation et du contrôle de l’environnement, vise à sensibiliser sur les risques environnementaux causés par l’utilisation de produits chimiques tels que le mercure et met également en lumière les meilleures pratiques en matière de gestion des déchets générés par les activités minières.
La ministre a expliqué que « l’adoption de la technologie de condensation dans l’incinération permet d’obtenir plusieurs résultats tangibles », notamment « le contrôle total des émissions de mercure, qui renforce la sécurité des travailleurs ».
« La réduction de la propagation du mercure dans l’environnement, la minimisation de ses effets sur la santé et l’environnement, et la réutilisation du mercure condensé, qui contribuent à réduire les coûts et à renforcer la durabilité dans le secteur.