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Les interruptions les plus marquantes de l’internet en Mauritanie ces dernières annéesLa Mauritanie a connu, au cours des dernières années, plusieurs coupures des services de l’internet, certaines pour des raisons de sécurité, d’autres à cause de défaillances techniques ayant entraîné des perturbations dans le câble à fibre optique qui achemine l’internet vers la Mauritanie à travers l’océan Atlantique. En avril 2018, la Mauritanie a connu des interruptions répétées des services internet, en raison d’une défaillance du câble sous-marin qui alimente l’internet mauritanien, avant qu’il ne soit réparé à la fin du mois. Le 23 juin 2019, le gouvernement mauritanien avait volontairement coupé Internet au deuxième jour des élections présidentielles, après que la capitale et un certain nombre de villes mauritaniennes aient connu une vague de protestations et d’émeutes, à la suite de laquelle des dizaines d’arrestations ont été opérées, y compris parmi les étrangers, qui, selon les autorités, étaient impliqués dans les émeutes. Fin février 2020, la Mauritanie a connu une forte perturbation du service Internet en raison d’un dysfonctionnement du câble sous-marin, avec des heures de coupure totale du service, ce qui a plongé le pays dans un isolement complet, mais le service est revenu rapidement, avec cependant un rythme très faible. Selon certaines sources, un bateau de pêche bulgare aurait coupé le « câble sous-marin » à l’origine du dysfonctionnement de l’internet, et le bateau bulgare avait été arraisonné par la marine mauritanienne. Le 3 avril 2020, le service d’internet mobile a été partiellement interrompu en raison d’un câble sous-marin défectueux. Ces perturbations ont concerné le service fourni par Mattel et Chinguittel, alors que l’opérateur Mauritel accusait des faiblesses sur son service internet. Une source technique avait déclaré à Sahara Media à l’époque que le câble sous-marin a subi une défaillance technique, qui pouvait avoir été une coupure. Fin mai 2023, l’internet mobile avait été coupé sur toute l’étendue du territoire Mauritanien, tandis que l’internet fixe restait disponible. Cette interruption de l’internet a coïncidé avec des émeutes et des actes de vandalisme dans plusieurs villes mauritaniennes pour protester contre la mort d’un jeune mauritanien, Oumar Diop après son interpellation par un commissariat de police. En mars 2023, le gouvernement mauritanien a coupé l’Internet sur les téléphones portables dans toute la Mauritanie quand quatre prisonniers salafistes se sont évadés de la prison civile de Nouakchott, après avoir tué deux gardiens de prison. La gendarmerie parviendra à en tuer trois et à arrêter le quatrième dans la région de Lemseïdy, dans la wilaya de l’Adrar. En période des examens du baccalauréat les sociétés de télécommunications opérant en Mauritanie coupaient chaque année l’internet mobile 3G pendant 6 heures par jour durant les jours d’examens. Depuis plusieurs années, les sociétés de télécommunications coupaient l’Internet mobile sur ordre des autorités mauritaniennes afin d’endiguer le phénomène de « la triche » lors de l’examen du baccalauréat, à quelques exceptions près certaines années.

La Mauritanie a connu, au cours des dernières années, plusieurs coupures des services de l’internet, certaines pour des raisons de sécurité, d’autres à cause de défaillances techniques ayant entraîné des perturbations dans le câble à fibre optique qui achemine l’internet vers la Mauritanie à travers l’océan Atlantique.

En avril 2018, la Mauritanie a connu des interruptions répétées des services internet, en raison d’une défaillance du câble sous-marin qui alimente l’internet mauritanien, avant qu’il ne soit réparé à la fin du mois.

Le 23 juin 2019, le gouvernement mauritanien avait volontairement coupé Internet au deuxième jour des élections présidentielles, après que la capitale et un certain nombre de villes mauritaniennes aient connu une vague de protestations et d’émeutes, à la suite de laquelle des dizaines d’arrestations ont été opérées, y compris parmi les étrangers, qui, selon les autorités, étaient impliqués dans les émeutes.

Fin février 2020, la Mauritanie a connu une forte perturbation du service Internet en raison d’un dysfonctionnement du câble sous-marin, avec des heures de coupure totale du service, ce qui a plongé le pays dans un isolement complet, mais le service est revenu rapidement, avec cependant un rythme très faible.

Selon certaines sources, un bateau de pêche bulgare aurait coupé le « câble sous-marin » à l’origine du dysfonctionnement de l’internet, et le bateau bulgare avait été arraisonné par la marine mauritanienne.

Le 3 avril 2020, le service d’internet mobile a été partiellement interrompu en raison d’un câble sous-marin défectueux.

Ces perturbations ont concerné le service fourni par Mattel et Chinguittel, alors que l’opérateur Mauritel accusait des faiblesses sur son service internet.

Une source technique avait déclaré à Sahara Media à l’époque que le câble sous-marin a subi une défaillance technique, qui pouvait avoir été une coupure.

Fin mai 2023, l’internet mobile avait été coupé sur toute l’étendue du territoire Mauritanien, tandis que l’internet fixe restait disponible.

Cette interruption de l’internet a coïncidé avec des émeutes et des actes de vandalisme dans plusieurs villes mauritaniennes pour protester contre la mort d’un jeune mauritanien, Oumar Diop après son interpellation par un commissariat de police.

En mars 2023, le gouvernement mauritanien a coupé l’Internet sur les téléphones portables dans toute la Mauritanie quand quatre prisonniers salafistes se sont évadés de la prison civile de Nouakchott, après avoir tué deux gardiens de prison.

La gendarmerie parviendra à en tuer trois et à arrêter le quatrième dans la région de Lemseïdy, dans la wilaya de l’Adrar.

En période des examens du baccalauréat les sociétés de télécommunications opérant en Mauritanie coupaient chaque année l’internet mobile 3G pendant 6 heures par jour durant les jours d’examens.

Depuis plusieurs années, les sociétés de télécommunications coupaient l’Internet mobile sur ordre des autorités mauritaniennes afin d’endiguer le phénomène de « la triche » lors de l’examen du baccalauréat, à quelques exceptions près certaines années.

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